9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 14:30

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La semaine dernière, BBC One diffusait "The Crimson Horror", écrit par Mark Gatiss et réalisé par Saul Metzstein. Cette histoire comprenait également en guest Dame Diana Rigg (Chapeau Melon & Bottes de Cuir, Au Service Secret De Sa Majesté, Game of Thrones) et sa fille Rachael Stirling.

 

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Bérénice Pirlot : « J'ai adoré. Ce qui ne m'était encore jamais arrivé avec un épisode de Mark Gatiss. Je m'étais même installée moyennement motivée. Donc... well done. »

 

Julitte Drugeon : « Une bonne réalisation, mais j'ai pas accroché à l'histoire. »

 

Cyril Lajus : « Bien aimé cet épisode, je trouve que ça sort du lot de ce que fait Gatiss habituellement, vraiment pas mal. »

 

Kevin Bordel : « Quand j'ai vu que Gatiss serait scénariste sur cet épisode, je m'attendais à quelque chose de formidable, comme d'habitude avec lui...Et ça n'a pas loupé ! Un scénario bien monté, certes sans grande surprise, mais sans grand ratage non plus. On regrettera peut-être des personnages sans grande profondeur, et une Clara toujours aussi transparente (son moment de gloire dans l'épisode consistant à jeter une chaise). Le plaisir de retrouver le trio Jenny/Vastra/Strax, toujours aussi efficace à l'écran. "The Crimson Horror" nous rebalance dans l'Angleterre victorienne, largement utilisée dans la série certes, mais toujours intelligemment : l'ambiance est très réussie, plus que dans certains épisodes "spacey" avec des spaceships en carton (j'exagère, of course), avec un boulot sur les décors/costumes/etc. vraiment excellent.

L'épisode est surtout génial en ce sens qu'il fourmille de petites trouvailles (le flashback en "images d'époque" bien sympathique à mon sens), de références bien placées, et évidemment d'un paquets de moment drôles (le petit Thomas Thomas, notamment). L'humour, l'action, le drame, tout est convenablement dosé et se mélange bien pour donner un excellent épisode de Doctor Who. Seule la toute fin de l'épisode gâche l'ensemble, en cassant le rythme jusque là impeccable, et surtout par ce qu'elle implique pour l'épisode suivant.

En bref, Gatiss rattrape ici son semi-ratage sur "Cold War" en retrouvant la qualité de "Night Terrors", et surtout replace la barre de la qualité très haut après un Voyage au centre du TARDIS décevant et une saison 7b globalement en demi-teinte. La période victorienne réussit décidément bien à la série : il faudrait peut-être songer à garer le TARDIS devant le Crystal Palace, plutôt que d'aller faire n'importe quoi dans des sous-marins soviétiques »

 

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