La semaine dernière, BBC One diffusait "The Crimson Horror", écrit par Mark Gatiss et réalisé par Saul Metzstein. Cette histoire comprenait également en guest Dame Diana Rigg (Chapeau Melon & Bottes de Cuir, Au Service Secret De Sa Majesté, Game of Thrones) et sa fille Rachael Stirling.
Comme chaque semaine, vous avez pu donner votre avis via les pages réseaux sociaux du blog ! Vous pouvez en lire quelques-uns ci-dessous.
Bérénice Pirlot : « J'ai adoré. Ce qui ne m'était encore jamais arrivé avec un épisode de Mark Gatiss. Je m'étais même installée moyennement motivée. Donc... well done. »
Julitte Drugeon : « Une bonne réalisation, mais j'ai pas accroché à l'histoire. »
Cyril Lajus : « Bien aimé cet épisode, je trouve que ça sort du lot de ce que fait Gatiss habituellement, vraiment pas mal. »
Kevin Bordel : « Quand j'ai vu que Gatiss serait scénariste sur cet épisode, je m'attendais à quelque chose de formidable, comme d'habitude
avec lui...Et ça n'a pas loupé ! Un scénario bien monté, certes sans grande surprise, mais sans grand ratage non plus. On regrettera peut-être des personnages sans grande profondeur, et une Clara
toujours aussi transparente (son moment de gloire dans l'épisode consistant à jeter une chaise). Le plaisir de retrouver le trio Jenny/Vastra/Strax, toujours aussi efficace à l'écran. "The
Crimson Horror" nous rebalance dans l'Angleterre victorienne, largement utilisée dans la série certes, mais toujours intelligemment : l'ambiance est très réussie, plus que dans certains épisodes
"spacey" avec des spaceships en carton (j'exagère, of course), avec un boulot sur les décors/costumes/etc. vraiment excellent.
L'épisode est surtout génial en ce sens qu'il fourmille de petites trouvailles (le flashback en "images d'époque" bien sympathique à mon sens), de références bien placées, et évidemment d'un
paquets de moment drôles (le petit Thomas Thomas, notamment). L'humour, l'action, le drame, tout est convenablement dosé et se mélange bien pour donner un excellent épisode de Doctor Who. Seule
la toute fin de l'épisode gâche l'ensemble, en cassant le rythme jusque là impeccable, et surtout par ce qu'elle implique pour l'épisode suivant.
En bref, Gatiss rattrape ici son semi-ratage sur "Cold War" en retrouvant la qualité de "Night Terrors", et surtout replace la barre de la qualité très haut après un Voyage au centre du TARDIS
décevant et une saison 7b globalement en demi-teinte. La période victorienne réussit décidément bien à la série : il faudrait peut-être songer à garer le TARDIS devant le Crystal Palace, plutôt
que d'aller faire n'importe quoi dans des sous-marins soviétiques »
.@tardib plutôt bon épisode, un peu mieux que le dernier. Pis j’aime bien la fin, ça donne envie d’avoir la suite.« I’m the boss ! »
— César Parent (@cesarparent) 4 mai 2013
@tardib Excellent ! Du Doctor Who comme je l'aime !
— Marty Beeblebrox (@Marty6x7) 5 mai 2013
@tardib Malgrès un méchant moyen et un tiers de l'épisode sans le Docteur et Clara, on retrouve l'esprit DoctorWho.Et puis Jenny Flint #OMG
— IrvingOswald (@IrvingOswald) 7 mai 2013